• jeremie regnierAlors que Cloclo sort en France dans un mois et demi, on a pour l'instant surtout vu Jérémie Renier coiffé et maquillé comme la star. L'acteur ressemblant énormément au chanteur qu'il interprète, la production a pour l'instant surtout insisté sur ce point, mettant en avant le comédien. On découvre aujourd'hui une partie du reste du casting et davantage de détails sur l'intrigue avec la bande-annonce du film. On comprend d'emblée que Cloclo sera un véritable biopic de Claude François, le suivant de son enfance à sa mort précoce. Pas de période de sa vie sélectionnée ici (comme pour le film sur Coluche, par exemple), mais un projet retraçant son destin, à travers des éléments connus de tous (son succès, ses chansons, ses danses, son côté perfectionniste...) et des détails méconnus (la relation houleuse que Claude François entretenait avec son père, son obsession de bien faire, de tout contrôler, ses conquêtes...). Une structure classique qui a déjà fait ses preuves dernièrement avec un autre biopic fleuve : La Môme.

    "Cloclo ou le destin tragique d'une icône populaire française, décédée à l'âge de 39 ans qui, plus de trente ans après sa disparition, continue de fasciner...", annonce le synopsis officiel. Les fans du chanteur devraient en effet être comblés, son destin semblant loin d'être survolé ici. Réalisé par Florent-Emilio Siri, le film sortira le 14 mars. Outre Renier, on découvrira à l'écran Benoît Magimel en producteur Paul Lederman, Joséphine Japy en France Gall et Ana Girardot dans la peau d'Isabelle Forêt, la mère des deux fils de Claude François, Claude Jr et Marc.


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  • Tous les deux ou trois mois, désormais, Claude François prend d'assaut les disquaires, les juke-boxes et les radios. Quinze ans, de 1963 à 1978, sans jamais déloger du hit-parade. Un exploit, car pratiquement jamais un passage à vide. Sauf entre 1975 et 1977…

    Une voyante lui prédit une vie courte

    Le 18 mai 1963 -  Claude François qui n'a encore qu'un seul disque à succès à son actif, se fait lire les lignes de la main par une Gitane, diseuse de bonne aventure. Elle lui prédit une éclatante réussite professionnelle, mais rougit en constatant que sa ligne de vie est bien courte, qu'il risque de disparaître vers l'âge de quarante ans, à peine beaucoup plus. Effectivement Clo-Clo mourra en 1978, âgé de trente-neuf ans.

    Pas de chance avec l’Angleterre

    1967 - Claude François est un habitué de la capitale britannique. C'est en 1967 qu'il part à la conquête du marché anglo-saxon. Il enregistre plusieurs chansons en anglais, dont son tube de l’époque, Sur le banc 21. Son entourage lui fait remarquer que son accent n'est pas excellent et qu'il aura du mal à s'imposer outre-Manche. Qu'importe, Clo-clo est "branché Angleterre". Impressionné par le "new old sound" du New Vaudeville Band, Claude enregistre leur tube Winchester Cathedral en français sous le titre J'travaille à l'usine. Catastrophe ! Les paroles ne plaisent pas aux programmateurs qui rechignent à le diffuser. Qu'à cela ne tienne, Clo-clo réenregistre la chanson, cette fois sous son titre original, Winchester Cathedral.

    Accident de voiture (interwiev de cloclo)

    17 mai 1970 - A 6 heures le matin, la musique à fond dans le véhicule, il fait plusieurs tonneaux, à 110 km heure, sur l'autoroute près d'Orange,  il sort de l'autoroute et se dirige vers le ravin , il s'arrête net. un pneu a éclaté Cloclo la tête dans le volant il a senti les os de son nez se cassé, le goût du sang dans la bouche, il essaie de sortir de la voiture, il a eu peur que la voiture explose, il s'est mis à genoux et s'est relevé. Et tout c'est arrêté, il pensait qu'il allait salir sa chemise qui était déjà pleine de sang, quelqu'un s'est arrêté pour lui porter secours, une de ses danseuses lui a montrer son nez cassé avec un miroir, il a donné un coup de poing dans le miroir,  puis il a été emmené à l'hôpital.

    Agressé par un fan sur scène

    1973 : un fan l'agresse lors d'un concert.

    Explosion à l'hôtel Hilton à Londres

    De passage à Londres, en 1975, sans être personnellement visé, il est la victime dans l'hôtel Hilton d’un attentat perpétré par l’IRA (Armée irlandaise révolutionnaire clandestine). Une bombe a explosé dans le hall de l’hôtel. Dans le magnifique pot de fleur de l'entrée la bombe avait été posée  Lorsque Sofia qui l'accompagnait regardait mystérieusement ce bouquet, il se mit à exploser, Claude qui était plus petit que la personne qui était à côté de lui a eu la vie sauvé. Il doit la vie à une touriste qui le protège de la déflagration d'une première bombe cachée sous une table. Il racontait comment il a été couvert de chair humaine suite à l'explosion.

    Indemne mais la déflagration a failli le rendre sourd.

    Les deux tympans, crevés, doivent être opérés en urgence ; l’othorhino place sur les tympans une légère membrane pour faciliter la cicatrisation.

    Le 13 juin 1975, l’artiste échappe de justesse à la mort dans un accident d’hélicoptère. Choqué, il ressent confusément qu’un étau de malheur l’enserre. Pire encore l’attend…

    Claude provocateur

    1977 - La série noire continue dans la nuit du 25 au 26 juin 1977, lorsque, vers 1h du matin, des inconnus tirent sur sa voiture...Au volant de sa Mercedes, le chanteur appuie sur le champignon car il a hâte de rentrer chez lui. Dans un premier temps il ne s’est pas méfié de la voiture qui le suivait depuis son entrée sur l’autoroute du sud. Clo-Clo n’est pas seul dans son véhicule, mais personne ne remarque rien… tant que n’ont pas sifflé les premières balles. Tout le monde s’écrase sur le plancher de la Mercedes sauf Claude qui est bien obligé de continuer à conduire, même s’il fait de sa silhouette la cible idéale. Il pousse le compteur jusqu’à 220 km/h en zigzaguant pour éviter les balles… et parvient à échapper à son ou ses poursuivants. en fait il a fait une queue de poisson à cette voiture, car il n'aimait pas qu'on le double, mais par manque de chance, il avait affaire à des gangsters qui l'ont poursuivit jusqu'au moulin.

    Onze impacts de balles

    Au total on retrouve onze impacts sur le véhicule de l’Idole. Particulièrement celui qui a traversé le véhicule, explosant la lunette arrière pour finalement s’écraser dans le tableau de bord. C’est dire que la nuque du chanteur avait été dans sa trajectoire au centimètre près.

     

    1977 - Grugé par les Etats - Unis : 1977 : il découvre que les droits qui lui ont été versés pour les adaptations de My Way, qui est devenu un succès mondial, n'ont pas été calculés correctement. Il prend l'avion et vient réclamer son dû. Son dossier lui permet cependant d'obtenir gain de cause vers la fin de l'année


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  • Claude François a eu beaucoup de conquêtes.
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  • claude francois bebeClaude François naît le 1er février 1939 à Ismaïla en Egypte. Son père, Aimé, est contrôleur de la circulation maritime sur le canal de Suez. Il est muté sur les bord de la mer Rouge en 1951 et s'installe donc avec sa femme Lucie d'origine italienne, sa fille Josette et son jeune fils Claude à Port Taoufik. Cette famille va vivre tranquillement jusqu'en 1956, date de la nationalisation du canal de Suez par le président égyptien Nasser. Obligée de partir, la famille vit le retour vers la France comme un brutal déracinement. Elle s'installe à Monte-Carlo dans un appartement modeste. Mais Aimé tombe malade et se voit dans l'incapacité de travailler. Petit à petit, son fils prend la place du chef de famille. Après un vague séjour derrière le comptoir d'une banque comme employé, Claude François se prend à rêver de réussite. Aidé par un tempérament entreprenant, il commence à rechercher quelques cachets dans les orchestres des grands hôtels monégasques. Très tôt, ses parents lui ont fait donner des cours de violon et de piano. Par lui-même, il s'intéresse aussi à l'univers des percussions. C'est d'ailleurs la rythmique qui lui donnera en premier lieu, la possibilité de s'exprimer.
     

     

    C'est ainsi qu'en 57, il est engagé dans l'orchestre de Louis Frozio qui se produit à l'International Sporting Club. Son père voit d'un très mauvais oil l'entrée de Claude dans le monde artistique et à dater de ce jour, la brouille entre les deux hommes est installée, à jamais. Déterminé, Claude malgré un salaire persiste dans cette voie. Le directeur ne veut pas le laisser chanter et bien tant pis, il va voir ailleurs et plus précisément à l'Hôtel Provençal de Juan-les-Pins. Un peu plus sûr de lui, il commence à se faire connaître dans les boîtes de nuit de la région. Un jour de 1959, il rencontre celle qui deviendra un an plus tard sa femme, une danseuse anglaise du nom de Janet Woolcoot.

    janet et claude francoisAmbitieux et décidé à réussir sa vie, Claude François décide de monter à Paris. Fin 61, il part avec femme, famille et bagages s'installer dans la capitale. Le début des années 60 est une époque de grands bouleversements pour la variété française. Commence l'ère de "Salut les Copains", émission de radio célèbre, des reprises en français de grands tubes américains, du twist et autres yé-yé. Claude François se fait engager dans la formation d'Olivier Despax, les Gamblers. Mais la situation rester précaire. Les cachets ne sont pas très importants et surtout, il veut toujours autant réussir. Il sort bientôt un 45 tours chez Fontana intitulé "le Nabout twist" (sorte de twist oriental) sous le nom de Koko. Ce premier disque est un échec.

    Aimé François s'éteint en mars 1962 et n'entend pas quelques mois après, le premier grand succès de son fils, "Belles Belles Belles", adaptation en français d'une chanson des Everly Brothers. Lancé par l'émission "Salut les Copains", Claude François démarre alors une véritable carrière de chanteur. Pris en main par un jeune impresario, Paul Lederman (futur agent de Coluche ou de Thierry Le Luron), voilà Claude François qui commence à marcher sur les plates-bandes de ses collègues. Il part en tournée en 1963 en première partie des Chaussettes Noires et peu à peu, ce jeune homme hyper-énergique s'impose sur scène jusqu'à leur ravir la vedette. Plusieurs titres vont se hisser durant cette année-là en haut des hit-parades dont "Marche tout droit" ou "Dis-lui". Le nombre d'admiratrices est en augmentation constante : son look de jeune homme de bonne famille, ses cheveux blonds laqués et ses paroles aseptisées sont autant d'atouts pour séduire un public féminin. En octobre, sort un autre tube, "Si j'avais un marteau", adaptation de "If I had a hammer" de Trini Lopez.

    roueClaude François travaille beaucoup et enchaîne les chansons adaptées de l'anglais, sans que pour autant celles-ci laissent un souvenir impérissable (la "Petite mèche de cheveux" ou "Je veux tenir ta main"). Quoiqu'il en soit, le succès est enfin là et le chanteur gagne de plus en plus d'argent. En 1964, il s'offre un ancien moulin à la campagne, à Dannemois, en Ile-de-France. Quelques semaines plus tard, on l'entend chanter "la Ferme du bonheur". C'est aussi l'année de sa première tournée en vedette avec les Gams, groupe yé-yé par excellence, les Lionceaux et Jacques Monty. Ce n'est pas toujours de tout repos car le chanteur se montre maniaque, voire intransigeant et désagréable avec ses collaborateurs. En septembre de la même année, il se produit la première fois à l'Olympia à Paris. Dans ce récital, Claude François chante un "J'y pense et puis j'oublie" assez nostalgique qui fait référence à la séparation avec sa femme, Janet.

    En 1965, le jeune homme enregistre environ une quinzaine de titres de "les Choses de la maison" à "Même si tu revenais". Il fait un Musicorama, émission de radio enregistrée en direct à l'Olympia à Paris, en octobre. C'est un triomphe. Il poursuit en enregistrant et en tournant pour la télévision une version de Cendrillon. L'année 66 est marquée par la création des Clodettes, équipe de quatre danseuses qui font office de faire-valoir. La tournée d'été n'en est que plus délirante, ponctuée par les scènes d'hystérie collective des admiratrices. En fin d'année, il monte à nouveau sur la scène de l'Olympia pour y triompher une fois de plus.

    claude et france gallAprès une courte idylle avec France Gall, il rencontre Isabelle qui devient bientôt la mère de ses deux fils. Nous sommes en 67 et cette année semble décisive. En effet, Claude François est en fin de contrat chez Philips et envisage de créer sa propre entreprise. C'est chose faite avec les Disques Flèche. Il devient artistiquement indépendant et seul maître à bord. Un véritable homme d'affaire, patron également de son propre fan club ! Le nouveau label est inauguré en 1968 avec le titre "Jacques a dit". Il continue avec une adaptation des Bee Gees, "la Plus belle des choses". Mais sur ce même disque figure une chanson qui va devenir un tube mondial. Ecrit en collaboration avec Jacques Revaux pour la musique et Gilles Thibault pour le texte, "Comme d'habitude" est en fait le symbole de la rupture du chanteur avec France Gall. Adaptée en anglais par Paul Anka, "My way" sera chantée par les plus grands de Sinatra à Elvis Presley.
     

     

     

     

     

     

     

     

     

    naissance de cocoEn juillet de la même année, Isabelle donne naissance à Claude Junior, vite surnommé Coco. Mais Claude François ne fait pas étalage de sa vie privée, il veut conserver ses fans et ne pas les décevoir. Il continue donc ses tournées, une en Italie et une autre en Afrique, du Tchad au Gabon, en passant par la Côte d'Ivoire. Hormis la naissance de son fils Marc, l'année 1969 ressemble aux précédentes. Il faut noter tout de même que son passage à l'Olympia durant 16 jours à guichets fermés est à nouveau un triomphe. Le spectacle ressemble à un véritable show à l'américaine : quatre danseuses, huit musiciens et le grand orchestre de l'Olympia. Il enchaîne l'année suivante avec une tournée au Canada. Mais c'est à Marseille que pour la première fois, il va craquer alors qu'il est en scène. Le surmenage est sans doute à l'origine de ce malaise. Il part aux Canaries se reposer. A peine rentré, il est victime d'un accident de voiture. A peine remis (de son nez brisé et de son visage tuméfié), Claude François, l'infatigable, repart en tournée avec Dani et C.Jérôme.

    podium de 1972 a 1978A la fin de l'année, il rachète Podium, un magazine pour les jeunes qui bientôt supplante ses rivaux, dont le fameux Salut les Copains. En 1972, en véritable connaisseur de musique noire-américaine, il part enregistrer le titre "C'est la même chanson" aux Etats-Unis, à Detroit, dans les studios de la Tamla Motown. Mais ses activités sont maintenant diversifiées. Il fait aussi de la production et avec les disques Flèches et s'occupe d'artistes tels Patrick Topaloff et Alain Chamfort. Toujours à la recherche de nouveaux talents, il recrute un jeune compositeur suisse, Patrick Juvet, pour écrire "le Lundi au soleil",succès de l'année 72 sur lequel on voit Claude François et les Clodettes exécuter une chorégraphie à base de petits pas sautillants et de moulinets des bras. Cette chorégraphie devient un des symboles du chanteur.

    D'autre part, il choisit de ne pas faire l'Olympia et part en tournée autour de Paris avec un chapiteau de 4.000 places. A la fin de l'année, il subit un contrôle fiscal et se voit obliger de payer 2 millions de francs à l'Etat. En 1973, il interprète "Je viens dîner ce soir", "Chanson populaire" et surtout "Ça s'en va et ça revient", titres qui deviennent à leur tour de véritables tubes. Pourtant, le sort semble s'acharner sur le chanteur.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    roue En juin 73, le moulin de Dannemois est ravagé par un incendie. L'année suivante se passe un peu mieux. "le Mal-Aimé" fait un malheur, suivi rapidement par le méga-tube, "le téléphone pleure", vendu à deux millions d'exemplaires. Les affaires reprennent et Claude François investit cette fois dans une agence de mannequins, Girls Models. On connaît l'attirance du chanteur pour les jeunes filles qui l'avait pousser l'année précédente à racheter un magazine de charme, Absolu. Il s'était même pour l'occasion transformé en photographe !

    Poursuivant sa carrière avec frénésie, Claude François enchaîne les succès même si au milieu de ces années 70, cela ne marche pas autant qu'il le voudrait. Ses concerts attirent de toute façon un nombre toujours impressionnant de spectateurs, sûrs du show délirant auquel ils vont assister. C'est ainsi que le 1er juillet 74, il rassemble quelques 20.000 personnes à la Porte de Pantin à Paris pour "Perce-Neige", fondation d'aide aux enfants handicapés présidé par un de ses amis, Lino Ventura. L'année suivante, le journaliste Yves Mourousi organise un concert de Claude François au profit de la recherche médicale, devant un public très nombreux rassemblé aux Tuileries à Paris. Cela sera d'ailleurs le dernier concert du chanteur dans la capitale.
     

     

     

     

     

    Poussé par une ravageuse envie de réussir malgré un physique et une voix que lui-même dénigrait, Claude François parvint à se maintenir au sommet de son art pendant presque vingt ans. Son esprit entreprenant ainsi que son flair indéniable furent les moteurs de cette carrière extraordinaire qui fit de lui le détenteur du label "Chanson populaire". Il demeure un symbole : celui de la France giscardienne, celle des années 70, de la télévision pailletée, des mythiques émissions de variétés de Maritie et Gilbert Carpentier. Personnalité ambiguë, certainement très méconnue encore, pas toujour saussi brilla.

    sofia et claudeEntre enregistrements de nouveaux disques, souvent dans une atmosphère tendue due à la maniaquerie de l'artiste, les tournées comme celles qu'il effectue aux Antilles en avril 76 ou en Afrique à la fin de l'année, ses love-story avec la Finlandaise Sofia

     

     

     

     

     

     

    dernier souffle claude et kathlyn ou l'Américaine Kathaleen (sa dernière compagne), ses shows télévisés, ses voyages incessants, Claude François vit à cent à l'heure. Et parfois cela ressemble aussi à un cauchemar : il est victime en 1975 de l'explosion d'une bombe de l'IRA (Armée révolutionnaire irlandaise) à Londres. Il s'en tire avec un tympan crevé. En 77, il se fait tirer dessus alors qu'il conduit sa voiture. Sans dommage.

    S'il a répété pendant des années qu'il lui faut chanter toujours le même genre de chansons pour satisfaire son public, Claude François sait de toute façon s'adapter aux modes dans la mesure où elles peuvent correspondre à son personnage. En 77, la musique disco est à son apogée. Ilsurfe donc sur la vagueen 1978 avec "Alexandrie Alexandra", écrit par Etienne Roda-Gil, l'auteur attitré de Julien Clerc.

     

    salle de bains Le 11 mars 1978, la France entière apprend que Claude François est mort électrocuté à son domicile parisien. La disparition subite de l'idole plonge ses fans et le public en général dans un état de profond chagrin qui vire parfois à l'hystérie. Le chanteur entre alors dans la légende. Le jour de ses obsèques, le 15 mars, sort le 45 tours "Alexandrie Alexandra".



     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    bd exelmans rebaptiséLe 11 mars 2000, 22 ans jour pour jour après sa disparition, une place Claude-François est inaugurée en fanfare au pied de son ancien domicile parisien. Le 11 mars 2003, ce nouvel anniversaire est largement célébré par ses admirateurs qui ne perdent pas une occasion de cultiver son souvenir, parfois jusqu'au ridicule. Une mèche des cheveux du chanteur pouvant se céder à 15.000 francs (2500 euros). Du côté marketing, Claude François est aussi toujours une valeur sûre. Ses tubes rapportent toujours beaucoup d'argent : depuis les années 90 et le revival autour des années 70,plus de 250.000 disques et compilations de Claude François se sont écoulées. Son fils Claude François Junior a rouvert en 1993 les Disques Flèches, non pas pour produire des disques, mais pour gérer le patrimoine et l'image du chanteur.

     

     

    Anecdotes :

    Michel Drucker a dit que claude François avait voulut sortir avec Dany Saval,sa femme actuelle ,et que celle-ci l'avait choisit alors qu'en fait c'est claude François qui l'avait présentée à Michel Drucker afin qu'elle sorte avec lui car Michel Drucker était seul.nte que ses costumes satinés, Claude François est aujourd'hui une icône.
     


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