• Le 19 mars 1961, son père meurt d’une maladie des poumons.
    • Le 14 mars 1970, un malaise le surprend pendant un concert à Marseille, salle Vallier. On apprendra plus tard qu’il s’agit d’un coup monté en accord avec son producteur. Le 17 mai, il est victime d’un accident de voiture sur l’autoroute près d’Orange. Le nez fracturé, il subit une rhinoplastie.
    • En 1973, un fan l’agresse lors d'un concert. En juin de la même année, une dépendance de sa propriété de Dannemois est la proie d’un incendie ; on n’en connaîtra jamais la cause. Il achète un appartement à Nancy, où il apprécie la beauté de la place Stanislas.
    • En 1975, il est la victime collatérale d’un attentat de l'IRA provisoire dans l’hôtel Hilton de Londres. Il doit la vie à une cliente qui était devant lui, le protégeant ainsi de la déflagration d’une première bombe cachée sous une table. La même année, Podium devient « le magazine n° 1 des jeunes ».
    • Dans la nuit du 25 juin 1977, ayant quitté Paris après avoir enregistré une émission avec Michel Sardou et avoir montré pour la première fois sa fiancée Kathalyn Jones à la télévision, et faisant route, passé minuit, vers sa résidence de Dannemois dans l'Essonne, il double une voiture, cette dernière n'apprécie pas et le double à nouveau et ainsi de suite. Lors du dernier dépassement, Claude fait une queue de poisson à la voiture. Les passagers de cette autre voiture sont en fait des gangsters et se mettent à le poursuivre. À près de 230 km/h, il essuie plusieurs coups de feu. Il arrivera au moulin, sain et sauf.

    Claude François meurt le samedi 11 mars 1978 à son domicile parisien du 46 bd Exelmans Paris 16è d’un œdème pulmonaire provoqué par une électrocution accidentelle en redressant une applique électrique murale défectueuse située au dessus de sa baignoire.

    Il devait, dans l'après-midi, participer à l'enregistrement de l'émission Rendez-vous du Dimanche, présentée par Michel Drucker. La radio et la télévision annoncent son décès à 16 heures par bulletin spécial. Le journal Libération titrera le surlendemain « Claude François : a volté. Le chanteur préféré des moins de 10 ans s'est électrocuté dans sa salle de bains » (le jeu de mot « a volté » étant une référence aux élections législatives du dimanche 12 mars). À la demande de ses proches, le chanteur est embaumé, à l'instar de son idole Elvis Presley. Claude François a également été embaumé entre le 11 et le 15 mars 1978. Sylvie Mathurin (son habilleuse) qui le veillait sur son lit de mort.

     
    Sylvie Mathurin (son habilleuse) qui le veillait sur son lit de mort, disait qu'il était si beau, que son visage était détendu, elle aurait juré qu'il dormait...  
    Lorsque les "médecins" lui ont demandé de sortir afin qu'on puisse procéder à l'embaumement du corps (elle ne le savait pas... elle a appris celà 20 ans plus tard avec le choc que vous imaginez), lorqu'elle a vu ressortir les messieurs avec des grosses valises métalliques (sans se poser trop de questions sur le moment...), elle est rerentrer dans la chambre voir Claude... Il avait totalement changé de visage. Il était comme plastifié et son expression était figée... Ca lui a fait tout drôle...

    Le 15 mars 1978, son nouveau 45 tours Alexandrie Alexandra arrive chez les disquaires, jour de ses obsèques, qui ont lieu en l'église d'Auteuil, à Paris. Il est enterré au cimetière de Dannemois, où de nombreuses personnes viennent se recueillir sur sa tombe. Il était propriétaire du moulin du village, aujourd'hui transformé en musée.


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