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    Ce mardi 27 mars, l’aventure arrivait à son terme pour le show de W9, A la recherche du nouveau Claude François. Dani, Daniel Lucarini et Claude François Junior ont jugé pendant plusieurs semaines des candidats dans le but de trouver un adulte et un enfant qui pourront être associés à l’image de Claude François.

    Pour cette finale, le jury a été amené à élire le vainqueur de la compétition dans la catégorie « enfant » parmi les cinq finalistes. Après plusieurs hésitations, le jeune Nicolas a décroché le trophée, entouré des Claudettes Chorégraphia, élues meilleures « Claudettes ».

    De son côté, le public était invité à désigner le meilleur Claude François dans la catégorie « Adultes ». Six personnes étaient en lice. Et le vainqueur a été Rémy, entouré de la troupe Alaya pour joeur le rôle des Claudettes. Ce jeune homme de 19 ans souhaite faire de ses prestations de Claude François un véritable métier.

    Ces deux gagnants ont pu compter sur le soutien du public. En effet, cette finale d’A la recherche du nouveau Claude François a remporté un franc succès en séduisant 1 million de téléspectateurs sur W9, soit 4.1% du public présent devant son petit écran entre 20h50 et 23h15. Un pic d’audience à 1.2 million de curieux a été enregistré à 22h36.

    Le show a permis à W9 d’être la 3e chaîne nationale de la soirée auprès des moins de 25 ans avec 6% de part de marché auprès de cette cible.


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  • "J'ai voulu me suicider pour Claude François"

    Par Propos recueillis par Ludmilla INTRAVAIA, le 11 mars 2008 à 12h39 , mis à jour le 11 mars 2008 à 17h09

    Interview - Sylvie Mathurin, l'habilleuse de Claude François, revient sur sa relation avec celui qui fut son premier amant, le "miroir de son âme".

    LCI.fr: Votre livre s'intitule "Un amour absolu". Telle était la nature de votre adoration pour Claude François? 

    Sylvie Mathurin, habilleuse de Claude François: Tout à fait. Etre fan, c'est être dans la dépendance totale, vivre par et pour la star qui devient le miroir de votre âme. On se reconnaît dans la star qui, magnifiée, vous fait évoluer à travers elle. Ainsi, je n'aurais jamais pu être fan de Johnny Hallyday car il ne me correspondait pas.
     
    LCI.fr: Quels traits de personnalité de Claude François faisaient écho en vous?
     
    S. M. : Sa fragilité, sa sensibilité. Sa passion pour la musique et ses chansons qui exprimaient l'amour perdu et l'abandon. Tout cela a bouleversé mon cœur d'adolescente.
     
    LCI.fr : Vous aviez 17 ans et vous vous pressiez, avec d'autres groupies, sur le pas de sa porte. Vous attendiez qu'elle s'ouvre, qu'il jette son dévolu amoureux sur vous?
     
    S. M. : Non. Je ressentais un amour spirituel pour lui, pas un amour charnel. Je voulais vivre dans sa lumière. J'avais besoin d'un fil conducteur à ma vie, pour passer le cap douloureux de l'adolescence et sortir de mes problèmes existentiels, du mal-être de l'enfance.
     
    LCI.fr : Et pourtant, un soir, la porte s'ouvre et Claude François vous demande de lui accorder vos faveurs.
     
    S. M. : J'ai fui. J'ai dit non. Je ne pouvais pas le considérer comme un homme, alors que j'en avais fait un dieu. Je suis retournée sur le palier. Mais j'ai culpabilisé car il avait besoin d'être aimé, de cette adulation inconditionnelle des fans, un amour pur et profond. 
     

    Sylvie Mathurin
    Oh! Editions, 18,90 euros, 270 pages

    LCI.fr : L'adoration des fans était-elle un moteur pour lui?
     
    S. M. : Il y puisait cette gloire immortelle qu'il retrouvait dans le regard admiratif des jeunes femmes qui n'attendent rien en retour, si ce n'est vivre dans son ombre.
     
    LCI.fr : Vous avez voulu mourir pour Claude François...
     
    S. M. : Oui. J'étais arrivée au bout de ma passion. Je ne savais plus comment l'aimer. Je ne savais plus quoi lui donner. Et j'ai fait une tentative de suicide, en un ultime sacrifice sur l'autel de l'adulation.
     
    LCI.fr : Cette expérience fut-elle destructrice?
     
    S. M. : Oui. Si ces années furent les plus belles de ma vie, j'ai vécu dans l'abnégation totale. J'ai fait abstraction de tout pour lui, complètement isolée de tout parcours scolaire. Depuis, j'ai reconstruit ma vie, j'ai grandi et fait des enfants. Je ne vis pas dans le culte de Cloclo. Je ne suis pas la gardienne de son mythe.
     
    LCI.fr : Quel message voulez-vous faire passer dans votre livre?
     
    S. M. : Je sais que beaucoup de fans de Tokio Hotel ou des BB Brunes se reconnaissent dans mon expérience. C'est pourquoi mon livre n'est pas nostalgique mais bien ancré dans la réalité. Etre fan est un phénomène de société actuel, sur lequel je souhaite sensibiliser les parents, afin qu'ils soient plus à l'écoute de leurs enfants, plus vigilants aux problèmes qu'ils rencontrent, dans cette phase difficile que demeure l'adolescence, quelles que soient les époques.

    Par Propos recueillis par Ludmilla INTRAVAIA le 11 mars 2008 à 12:39

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  • Marc Kevin : «Claude François me colle à la peau !»

     

    Salins (Seine-et-Marne), lundi. Marc Kevin n’est pas simplement un sosie de la vedette des sixties. Il s’est réapproprié son répertoire.
    | (LP/P.V.)

    Pascal Villebeuf | Publié le 28.02.2012, 08h13

    Depuis vingt ans, le village de Salins, près de Montereau, est le pied-à-terre de Marc Kevin, célèbre sosie de . Ce soir, il sera la vedette de la nouvelle émission de W9 (groupe M 6) : « A la recherche du nouveau Claude François et ses clodettes », dont le premier volet est diffusé à partir de 20h50. <btn_noimpr> </btn_noimpr>

    Il sera le fil rouge de l’affrontement entre 120 candidats, présent à chaque émission. Le but : élire le meilleur imitateur de Claude François, dans les catégories adultes et enfants.
    C’est le point de départ d’un nouveau vent de folie autour de l’interprète de « Cette année-là », quelques jours avant la sortie de « Cloclo », un biopic de Claude François, joué par Jérémie Rénier, en salle le 14 mars.

    Avec un philarmonique

    Marc Kevin, 51 ans, a d’autres similitudes avec son idole. « Mon vrai prénom est Claude. Je demeure par hasard rue du Moulin, alors que Cloclo habitait le mythique moulin de Dannemois dans l’Essonne. Enfin, tout le monde me dit que j’ai sa voix! » Dans son modeste pavillon, Marc est aussi maniaque que lui dans le rangement de ses affaires. Devant son bureau, une penderie où costumes de scène à paillettes, bottines et cravates, sont alignés au millimètre près.


    Sa carrière a débuté à 15 ans. « J’étais un fou de rhythm and blues. Et je me suis retrouvé dans un orchestre de bal pour chanter de la variété française. Puis le patron a remarqué que je chantais bien Cette année-là. Et il m’a cantonné dans ce rôle. Deux ans plus tard, à la de Claude François, ma carrière a explosé. Il y avait des millions de fans orphelins. Je vivais sur , je sortais en boîte de nuit tout le temps.

    C’était une période extraordinaire. Puis j’ai fait la tournée des plages avec des chanteurs comme C. Jérôme ou Hervé Vilard. Le personnage de Cloclo me collait à la peau. »
    Alors Marc, un peu musicien et parolier, essaie de percer avec ses propres compositions. « J’ai fait un album en 1981. Il a un peu marché en Belgique. Mais pas en France. »


    Peu à peu, Marc se prend finalement au jeu. Mais ne lui parlez pas de sosie. « Les sosies chantent en play-back en général. Moi, je me suis réapproprié le répertoire de Claude François. A un moment, j’ai même tourné avec un orchestre philharmonique de quarante musiciens. Maintenant, je fais des dizaines de galas par an, avec quatre clodettes. En Asie ou à la Réunion, j’ai rempli des salles de 10000 personnes.

    Là, je reviens de Limoges. J’ai dormi deux heures. »
    A ses côtés, sa fidèle secrétaire Jennifer veille sur lui. « Je suis aussi son agent, son attachée de presse. Il a choisi la campagne, voilà vingt ans, pour se reposer entre les galas. » La folie Cloclo le gagne de nouveau. Ce matin, il sera l’invité d’Europe 1, le 3 mars du magazine « 50 mn inside » de TF1.

    Plus de renseignements sur son site : http://sosieclaude.free.fr.

    Le Parisien


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  • Essonne : la folle histoire des archives perdues de Cloclo

    En 1990, Christian Houget ramasse un carton tombé sur la Francilienne qui contient des images inédites de Cloclo. Sans lui, elles auraient pu disparaître! Il raconte.

    cécile chevallier | Publié le 09.03.2012, 04h01

    SAINT-GERMAIN-LÈS-ARPAJON, lundi. Christian Houget (à gauche) a 
trouvé par hasard sur la route  des bandes de films montrant le célèbre 
chanteur  du moulin de Dannemois (à droite), dans sa vie privée. C’est 
une des Clodettes qui les avaient égarées.

    SAINT-GERMAIN-LÈS-ARPAJON, lundi. Christian Houget (à gauche) a trouvé par hasard sur la route des bandes de films montrant le célèbre chanteur du moulin de Dannemois (à droite), dans sa vie privée. C’est une des Clodettes qui les avaient égarées.

    Cloclo par-ci, Cloclo par-là. Entre l’anniversaire de la du chanteur dimanche, la sortie mercredi du retraçant sa vie et l’émission de téléréalité « A la recherche du nouveau » sur W9, difficile d’échapper aux <btn_noimpr>

    </btn_noimpr> Peu de gens le savent mais certaines d’entre elles auraient tout simplement pu disparaître sans… l’intervention d’un habitant de Saint-Germain-lès-Arpajon!

    Christian Houget n’attendait qu’un merci. En vain.

    En cette année où Claude François est décliné à toutes les sauces, cet agent commercial a décidé de rendre publique une aventure assez improbable datant de mars 1990. « Je prends la route pour me rendre à mon travail, raconte Christian Houget. Sur la Francilienne, un paquet volumineux tombe d’une voiture. Allez savoir pourquoi, je m’arrête pour le ramasser. » En rentrant, Christian découvre dedans une grosse bobine de film où sont inscrits « Cette année-là », « Jean-Pierre Foucault », « Prisca »… « Mais je n’y ai pas prêté plus d’attention. »

    Quelques jours plus tard, l’agent commercial se rend chez une cliente à Blois (Loir-et-Cher). Cette fan de Cloclo raconte à Christian Houget qu’elle a regardé l’émission de Jean-Pierre Foucault consacrée à son chanteur préféré. « Mais elle était déçue : l’émission, qui devait présenter des documents inédits, était meublée de simples photos. Le présentateur a expliqué que des documents avaient été dérobés à Prisca, une Clodette », confie Christian Houget. Il comprend qu’il s’agit de « son » paquet. Il contacte alors Jean-Pierre Foucault via le standard de RTL, mais la discussion tourne court.

    Christian Houget est malgré tout contacté par France 3, qui dépêche deux coursiers pour récupérer les archives leur appartenant. « J’attends depuis un merci », souffle l’Essonnien. Il y a cinq ans, il retrouve Prisca, en dédicace au moulin de Dannemois, la demeure de Claude François. « Elle m’a demandé comment elle pouvait me remercier, se souvient Christian. J’ai évoqué un coup de pouce pour ma fille qui voulait monter une école de danse à Massy. On n’a jamais rien vu venir. » Christian Houget insiste : « Ma démarche n’est pas un péché d’orgueil. C’est juste qu’à chaque fois que je vois une émission sur Claude François, je me dis que j’ai une petite part de responsabilité, et que personne n’a jamais songé à m’en remercier. Quelqu’un d’autre aurait pu détruire les bandes, chercher à les vendre, les conserver, rouler dessus… Moi, j’ai été honnête et je n’en ai reçu que de l’ingratitude. » Un constat amer que Prisca, l’ancienne Clodette, regrette. « Tout ce que ce monsieur raconte est vrai, confie la danseuse. J’amenais ces bandes à Jean-Pierre Foucault pour l’émission, et tout est tombé de ma voiture. Je m’en suis rendu compte en arrivant sur place. On ne pensait pas qu’on les retrouverait. Sur les bandes, il y avait des clips et des images de Claude dans sa vie privée. C’était des films très importants. »

    Vidéo. Visite du moulin de Dannemois




     

    Le Parisien


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